Utiliser le mouvement de votre vélo pour produire de l’électricité est un concept séculaire qui remonte aux années 1800.Ces produits, connus sous le nom de dynamos, ont été inventés pour alimenter les lumières de vélo. Les cyclistes ont récemment converti ces générateurs en sources d’alimentation pour leurs périphériques USB, tels que les smartphones et les appareils photo, pour une expérience utilisateur épouvantable. Voici pourquoi:
Sortie volatile
Le mouvement du vélo n’est jamais constant. Parce que la puissance de sortie du vélo est directement corrélée au mouvement du vélo, la puissance électrique d’une dynamo n’est jamais cohérente.
Lors de la création de la dynamo, cette électricité instable a entraîné des lumières de vélo qui clignotaient pendant la conduite. Cependant, l’effet est beaucoup plus sévère aujourd’hui. L’électronique moderne, comme les smartphones, nécessite une puissance de sortie stable. Sinon, les coureurs sont confrontés à des états de charge marche-arrêt ennuyeux ou, pire encore, à des appareils frits. Les Dynamos doivent être couplés avec des composants électroniques USB, achetés séparément, pour lutter contre ce problème. Cependant, ces produits sont coûteux (100$ +) et ont des pertes d’efficacité de 60% +.
Puissance v. Vitesse
La vitesse moyenne d’un cycliste est de 12 mi/h. La plupart des dynamos sont conçues pour produire ~ 3W (watts) de puissance à cette vitesse. Pourquoi 3W? Les réglementations européennes déterminent que les feux de vélo dynamo doivent être normalisés 2,4 W, avant et.6W, arrière, pour un total de 3W. Bien qu’il soit possible de produire jusqu’à 6W dans certains cas, ces niveaux de puissance sont assez faibles pour la plupart des appareils électroniques. Pour le contexte, la plupart des smartphones, tels que l’iPhone 11 Pro, sont livrés avec un chargeur de 18W dans la boîte. Il n’est pas rare qu’une dynamo prenne neuf heures pour charger un smartphone exécutant la navigation. Supporteriez-vous ce sacrifice? La plupart ne le font pas…
De plus, les cyclistes souhaitent alimenter plusieurs appareils à la fois, tels qu’un téléphone + lumière ou un appareil photo + GPS. En fin de compte, la norme de puissance de 3 W de la plupart des dynamos devient rapidement limitée, et sans doute inutile, lorsqu’elle est utilisée pour alimenter autre chose que de simples ampoules.
Choix déroutants et accablants
L’achat d’un système dynamo est un processus intensif de bricolage du début à la fin. Tout d’abord, il faut choisir son générateur de choix. Il existe deux types de générateurs de dynamo: bouteille et moyeu. Les dynamos à base de bouteilles s’écoulent de la roue d’un vélo et ont tendance à être moins coûteuses. Cependant, ils ont une qualité de construction médiocre, une efficacité médiocre et sont bruyants. Les systèmes basés sur des moyeux sont plus populaires et s’intègrent dans le moyeu central d’une roue. Un hub relativement bon peut facilement coûter au nord de 300 $. Ces systèmes nécessitent de nombreuses reconstructions de roues qui coûtent du temps et de l’argent (les reconstructions coûtent environ 100 at dans les magasins de vélos) en plus du prix relativement plus élevé d’un générateur de moyeu.
Ensuite, un cycliste doit choisir son électronique à coupler avec sa dynamo. La plupart des dynamos et des appareils électroniques doivent être croisés pour vérifier la compatibilité, l’électronique ajoutant 100 à 200 $ supplémentaires au système. De plus, certains appareils électroniques ont des normes de sécurité douteuses, telles que l’allumage et l’extinction fréquents et la surcharge des appareils.
Enfin, le cavalier doit assembler toutes les pièces. Savez-vous souder? Combien de temps faut-il pour reconstruire une roue de vélo? Que diriez-vous de câbler les câbles à travers la tige de votre guidon? Ce sont des questions auxquelles presque tous les utilisateurs de dynamo doivent répondre lors de l’installation. La navigation sur les forums, les articles et les groupes Facebook est une pratique courante pour résoudre les configurations dynamo. Mais une fois l’installation terminée, les cyclistes se retrouvent toujours avec un système d’alimentation de vélo coûteux qui produit peu d’électricité, offre une expérience utilisateur médiocre et est difficile à enlever.
L’alternative moderne
Les dynamos ont été conçues à une époque où les lumières ternes étaient la technologie la plus avancée que l’on puisse ajouter à leur vélo. Cependant, les smartphones d’aujourd’hui, les navigateurs GPS, les caméras, l’éclairage moderne et d’autres appareils utilisés sur les vélos nécessitent une nouvelle source d’alimentation. Nous avons donc trouvé une solution.
PedalCell – La source d’alimentation du Vélo
PedalCell est un accessoire de vélo qui convertit le mouvement de votre vélo en électricité stable et constante pour alimenter votre smartphone et d’autres périphériques USB. Bien que PedalCell ressemble à certaines dynamos, il ne peut pas être plus différent.
La technologie CadenceX brevetée de PedalCell produit une électricité stable quelle que soit votre vitesse de conduite, garantissant à vos appareils la puissance sûre dont ils ont besoin. De plus, le générateur conçu sur mesure de PedalCell émet une puissance de 15 à 20 W à des vitesses de conduite traditionnelles, ce qui vous permet d’alimenter plusieurs appareils à la fois, comme charger un smartphone et une lampe de vélo.
PedalCell facilite l’alimentation du vélo en associant son générateur et ses composants électroniques dans un ensemble tout-en-un qui s’installe sur la plupart des vélos en quelques minutes. Mieux encore, tout cela coûte moins de la moitié des principaux systèmes dynamo sur le marché. Appelée « dynamo du futur » ou « dynamo 2.0 », PedalCell est une solution moderne pour les cyclistes d’aujourd’hui. Tout ce que nous avons fait, c’est simplement fabriquer la source d’alimentation pour vélos que le marché attendait.