Dans « Le Fût d’Amontillado », Edgar Allen Poe utilise des éléments de préfiguration par le ton, l’ironie et le symbolisme pour créer l’essence du suspense et de la terreur pour décrire les événements qui ont précédé la mort de Fortunato. C’est aussi un moyen d’attirer l’attention du public pour continuer à lire la nouvelle. Par exemple, le paragraphe d’ouverture attire l’attention du public, impliquant la colère et la haine. « Les mille blessures de Fortunato que j’avais supportées du mieux que je pouvais, mais quand il s’aventura sur l’insulte, je me suis juré de me venger » Poe 1).
Le ton de la haine donne déjà au lecteur un aperçu que quelque chose va se passer, mais ils ne savent tout simplement pas ce qui attend le Fortunado. Le carnaval est une pièce si symbolique car c’est le premier signe de la mort de Fortunato. Montresor est vêtu de noir presque comme la faucheuse et Fortunato déguisé en bouffon. Le carnaval est parfait pour attirer quelqu’un sans se faire remarquer car tout le monde est vêtu de costumes et de masques et personne ne peut vous identifier.
Montresor se réjouit que Fortunato soit déguisé en bouffon parce qu’il peut l’humilier quand il est sur le point de mourir. « J’étais si heureux de le voir, que je pensais que je n’aurais jamais dû lui tordre la main » (Poe 1). Un écrivain a convenu que « Poe commence par décrire, avec une précision caractéristique et des détails logiques, l’idée de revanche parfaite de Montresor (et de Poe) » (Delaney 39). » Il n’y avait pas de préposés; ils se sont enfuis pour faire la fête en l’honneur de l’époque. J’avais dit que je ne devais pas revenir avant le matin et je leur avais donné des ordres explicites de ne pas remuer de la maison » Poe 2). La citation donne le ton pour le reste de l’histoire.
Le texte donne au lecteur le sentiment que le narrateur, Montresor, est très secret et trompeur car il dit à ses serviteurs qu’il ne reviendra pas avant le matin. Cela donne le ton et le premier signe de cette mort arrive à Fortunado lorsque Montresor lui tend sa faiblesse, qui est le vin. Fortunato est tellement fier de la dégustation de vin qu’il marche aveuglément dans sa propre mort ou remarque le sarcasme que Montresor projette: « Votre santé est précieuse.
Vous êtes un homme à manquer » (Poe 2). Le texte affiche une ironie verbale lourde parce que le lecteur sait que Montresor, pour une raison quelconque, a une forte aversion pour Fortunato plus tôt dans le texte. Gardez vos amis proches mais gardez vos ennemis proches. Fortunato n’a manifestement pas tenu compte des signes avant-coureurs menant à sa mort. Montresor conduit sa victime insoupçonnée dans les profondeurs des catacombes de la crypte. Le texte est similaire à celui d’Abraham prenant son fils Isaac pour être sacrifié en offrande à Dieu. Et il dit: « Prenez votre fils, votre fils unique Isaac, que vous aimez, et allez au pays de Morija, et offrez-le là en holocauste sur l’une des montagnes dont je vous parlerai ». » (Genèse 22:2).
Le verset de la Bible peut être lié à la nouvelle où Montresor était Abraham et Fortunato était Isaac qui était emmené pour être sacrifié. De plus, dans les deux textes, il est ironique que les deux personnages se posent peu ou pas de questions lorsqu’ils arrivent à leur mort. Cependant, les seules différences entre les deux textes sont qu’Isaac n’est pas mort et que « l’heureux Fortunato l’a fait.
Étant donné que Montresor est le narrateur, le lecteur n’a pas conscience de la façon dont Fortunato pense ou ressent. En descendant vers les catacombes des Montresors, le suspense et l’ironie augmentent tandis que Montresor continue de faire signe à Fortunado d’être prudent et de poser des questions sur sa toux. « Je ne mourrai pas d’une toux » (Poe 2). Cependant sa fierté d’essayer l’Amontillado le pousse plus loin dans les catacombes. Une fois entré dans la crypte, le suspense est à son comble.
La description de l’emplacement de la crypte, de l’amas d’os et de l’écusson de la famille de Montresor peut être représentée comme la fosse d’enfer dans laquelle Fortunato se trouve maintenant. Le symbole de la crête peut être vu comme Fortunato est le pied qui a marché sur Montresor et c’est pourquoi Montresor se venge. « Pour l’amour de Dieu, Montresor, « Oui ¦ pour l’amour de Dieu » (Poe 5). Le texte montre au lecteur que Montresor est fermé et satisfait. « C’est la pitié de Montresor, ainsi que sa triste satisfaction (Delaney 39). L’écrivain Bill Delaney explique que Montresor a eu pitié de Fortunado.
Les éléments symbolisme, ironie et préfiguration sont liés pour créer un ton de suspense et de terreur. Les lecteurs ne sauront jamais ce qui se passait dans l’esprit de Fortunato et de constater qu’à la fin, Montresor raconte l’histoire. Il est fier d’avoir réussi à tuer et que personne n’ait découvert son secret qu’il emportera dans sa tombe. Il donne l’ambiance qu’il avait une certaine culpabilité d’avoir fini si tôt. « En rythme requiescat! » (Poe 6). Le lecteur trouve inquiétant que personne n’ait dérangé les restes de Fortunato après cinquante ans.